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À l’heure de Black Mirror et des nouvelles technologies qui ne cessent d’évoluer, voila une petite dystopie, extrêmement bien filmée qui vous fera réféchir.
Los Angeles, dans un futur proche. Theodore Twombly, un homme sensible au caractère complexe, est inconsolable suite à une rupture difficile. Il fait alors l’acquisition d’un programme informatique ultramoderne, capable de s’adapter à la personnalité de chaque utilisateur. En lançant le système, il fait la connaissance de ‘Samantha’, une voix féminine intelligente, intuitive et étonnamment drôle. Les besoins et les désirs de Samantha grandissent et évoluent, tout comme ceux de Theodore, et peu à peu, ils tombent amoureux…
Et un film de Spike Jonze ça ne se refuse pas !

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Julie Guillem

À l’occasion de son livre très attendu  » Cerfs Volants  » ainsi que de son exposition
 » Là-haut « , chez Sergent Paper je vous propose quelques oeuvres de Julie Guillem et quelques infos.
Née à La Rochelle, Julie Guillem a toujours aimé les couleurs et dessiner. Diplômée en 2015 de la section image imprimée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris et après 2 ans passés à l’Université d’Arts Appliqués de Vienne dans la section graphisme, Julie Guillem est rentrée à Paris pour travailler comme illustratrice, où elle collabore régulièrement pour la presse et l’édition. Son travail mélange plusieurs techniques comme la linogravure, le pochoir, l’encre ou encore l’aquarelle. Les illustrations de Julie Guillem sont toujours minimalistes, poétiques et douces, parfois ponctuées de notes acidulées.

Beya Rebaï

Après trois ans de spécialisation en illustration à l’institut Saint-Luc de Bruxelles, Beya Rebai complète sa formation en master à l’école de Condé. 
Fascinée par la couleur, notamment par le courant artistique des Nabis, elle construit ses dessins avec une gamme colorée restreinte et soigneusement choisie. 
Son carnet de croquis l’accompagne toujours que ce soit dans son propre quartier ou à des milliers de kilomètres de là. Beya affectionne aussi bien les techniques traditionnelles comme le pastel ou les crayons de couleur que l’illustration digitale, qui offre des choix de couleurs illimités.
Elle aime tester, expérimenter et explorer, tout en retranscrivant son univers. 
Son inspiration provient principalement des régions qu’elle traverse lors de ses voyages mais aussi des personnes qu’elle rencontre et côtoie. L’attitude d’une personne dans un café, les couleurs d’un bouquet de fleurs, le relief et la grâce d’une montagne, tout est prétexte à dessiner. 

Hayley Eichenbaum

Hayley Eichenbaum est une artiste interdisciplinaire basée à Los Angeles, en Californie. Eichenbaum a étudié à l’Institut d’art de San Francisco et à l’Institut d’art et de design de Milwaukee. La pratique d’Eichenbaum est axée sur la photographie numérique, l’illustration, la sculpture, les médias temporels et le spectacle vivant. Des travaux antérieurs analysent les attentes de la femme: la femme représente tout ce qui est puissant et impuissant. Les intérêts d’Eichenbaum persistent dans ce paradoxe.
De tels projets ont conduit à une enquête en cours sur la façade en tant que méthode ultime pour capter l’attention. Au cours des cinq dernières années, Eichenbaum a parcouru le pays en photographiant l’architecture extérieure et le paysage organisé. Les vestiges historiques d’Americana révèlent qu’une esthétique romantique est essentielle à la survie de la société.

Maria Svarbova

Après des études de conservation, de restauration d’oeuvres d’art et d’archéologie en Slovaquie qui lui permettent de développer un intérêt majeur pour l’esthétique, la jeune Mária Svarbová décide de se consacrer essentiellement à la photographie en 2010. Ses premiers clichés signés de son pseudonyme Aria Baró sont empreints d’onirisme et de surréalisme tandis que son travail actuel, faisant la satire de notre monde moderne, se rapproche de tableaux déshumanisés où les personnages se figent dans des postures inexpressives. La série qui l’a lancée ? Une grande série sur les piscines, qui à connu un véritable succès sur instagram. Ce qui lui a permis de sortir son premier livre de photos  » Swimming pool « .

Mügluck

Mügluck est une illustratrice française vivant à Montréal pour le moment.
Mügluck est un pull marin qui pense Provence.
Ses illustrations ? De la gouache et de la couleur à gogo ! Elle est fascinée par l’esthétisme du début du 20e siècle. On la retrouve dans des magazines, la presse ou pour des marques, mais elle rêve aussi de mode parfois. Mügluck aime le jaune, le bleu, le rouge et les motifs.
Si vous avez besoin d’un brin de fraicheur et de vous sentir déjà en été allez vite regarder !

On peut retrouver son travail à la Slow Galerie.
https://www.slowgalerie.com/fr/